A ler aqui o artigo de Quentin Girardque inclui esta passagem :
«(...)Pour Saïd Haddad, le contexte politique intérieur est essentiel. Le CNT est, par sa composition même - un mélange de transfuges du précédent régime, des représentants des tribus et de la société civile, notamment de Benghazi et de Misrata - très divisé et tous ne veulent pas aller dans le même sens. «Avec la constitution prochaine du gouvernement de transition, une sorte de compétition s'est mise en place pour se placer politiquement. Chez certains conservateurs, le durcissement sémantique peut permettre de faire oublier qu'ils ont servi pendant très longtemps le régime libyen», comme Moustapha Abdeljalil, ministre de la Justice de 2007 à février 2011. Et d'amadouer ainsi les islamistes qui ont participé à la révolution. Pour prendre l'exemple le plus fort, l'actuel gouverneur militaire de Tripoli, Abdelhakim Belhaj, est le fondateur du GIC, le groupe islamique libyen, lié à Al-Qaeda. Il disposerait d'une petite armée fidèle, potentiellement destabilisatrice.(...)»
Inch alah!!!Um estado(gasoso,plasma?)ao serviço dos banksters e respetiva malta do petróleo.A China fica a ver 'navios' donde a guerra mesmo, é contra a ela!
ResponderEliminarJá se sabe aonde isto vai dar;a seguir é a Siria/Irão e depois as bombas antónias
Estará a formar-se um novo Império Norte Americano???
ResponderEliminarÉ preciso impedir essa catástrofe.
Um beijo.