friamente assassinado
e sabemos qual foi a cadeia de comando deste crime: Administração dos EUA/CIA, Embaixador dos EUA na Bolívia, René Barrientos, Presidente da Bolívia, Coronel Zentena e o executor sargento Mário Testan que relatou assim os últimos minutos da vida de Che:
- « Je suis resté 40 minutes avant d'exécuter l'ordre. J'ai été voir le colonel Pérez en espérant que l'ordre avait été annulé. Mais le colonel est devenu furieux. C'est ainsi que ça s'est passé. Ça a été le pire moment de ma vie. Quand je suis arrivé, le Che était assis sur un banc. Quand il m'a vu il a dit : « Vous êtes venu pour me tuer. » Je me suis senti intimidé et j'ai baissé la tête sans répondre. Alors il m'a demandé : « Qu'est ce qu'ont dit les autres ? » Je lui ai répondu qu'ils n'avaient rien dit et il m'a rétorqué : « Ils étaient vaillants ! ». Je n'osais pas tirer. À ce moment je voyais un Che, grand, très grand, énorme. Ses yeux brillaient intensément. Je sentais qu'il se levait et quand il m'a regardé fixement, j'ai eu la nausée. J'ai pensé qu'avec un mouvement rapide le Che pourrait m'enlever mon arme. « Soyez serein – me dit-il – et visez bien ! Vous n’allez tuer qu’un homme ! »[170]. Alors j'ai reculé d'un pas vers la porte, j'ai fermé les yeux et j'ai tiré une première rafale. Le Che, avec les jambes mutilées, est tombé sur le sol, il se contorsionnait et perdait beaucoup de sang. J'ai retrouvé mes sens et j'ai tiré une deuxième rafale, qui l'a atteint à un bras, à l'épaule et dans le cœur. Il était enfin mort. »[171] (Wikipédia, citando entrevista ao Paris Match).
Boa noite. Não o quero contrariar, ainda por cima, com dados da wikipedia, mas esta diz que ele foi capturado a 8 e morto a 9. Hasta siempre....
ResponderEliminarMas não morreu!
ResponderEliminarA questão é que se tratou de um assasínio.
ResponderEliminarE, de facto, não morreu.
Ainda hoje, no Metro, em Lisboa, dei de caras com ele.
Talvez não o tivessem lido. Talvez tenham feito dele um ícone pop.
Ernesto Guevara deixou obra escrita. Tornou-se imortal por isso.
Será bandeira, pelas ideias que defendeu e pelas consequentes acções.
A banalização da figura serve apenas aqueles que nunca o leram.