09 abril 2015

Exposição no Walker Art Center de Minneapolis



ver slideshow aqui

Filhos e enteados

A reposição quando nasce
deve ser para todos, ou não ?




Não ocupa lugar

Para saber mais sobre o
Tratado Transatlântico (TTIP)


ler aqui

Um livro estrangeiro por semana ( )


La Guerra Civil
como moda literaria



 Ed. Clave Intelectual, 464 p., 21,90 E.
Apresentação da editora:«En las últimas décadas hemos asistido a una proliferación tan considerable de novelas sobre la Guerra Civil española quem sin duda, podemos claificar este fenómeno como una suerte de moda literaria. David Becerra se pregunta: ¿a qué se debe esta eclosión de títulos que parecen cuestionar el pacto de silencio y olvido de la Transición? Pero, ¿verdaderamente lo cuestionan?, ¿son novelas que reivindican la memoria histórica o, al contrario, solamente utilizan la Guerra Civil como telón de fondo? ¿Cómo nos están contando la Guerra Civil las novelas que se escriben en la actualidad? La respuesta es este libro. «Lo valioso de este libro es que David Becerra no se ha quedado en la exclamación sarcástica, ni en el chascarrillo de mesa redonda, ni siquiera en el artículo académico. Tras años lamentándonos de “la guerra civil como moda literaria”, por fin tenemos un estudio riguroso que desarrolla esa idea común, y la fundamenta. Intuíamos que la Guerra Civil se había convertido en efecto en una moda, en un lugar común de editores y novelistas, en un subgénero inofensivo; y ahora llega Becerra para demostrarlo, a partir de una lectura crítica de las obras más representativas. […] La Guerra Civil como moda literaria propone un estudio riguroso de novelas que se limitan a usar la Guerra Civil como telón de fondo, escenario...».

As teses principais expostas
pelo autor podem ser visitadas
nesta sua entrevista
.

Ontem no canal M6 (França)

Uma história real -
A Criança de Buchenwald



"L’Enfant de Buchenwald", Ce soirr [ontem] sur M6 à 20 h 50. Adapté du roman de Bruno Apitz «Nu parmi les loups», le téléfilm proposé par M6 
raconte une histoire vraie de résistance à l’intérieur du camp de concentration de Buchenwald.
«C’est un enfant, sans défense, au milieu d’une sauvagerie délirante. Un petit bout d’homme, de tout juste trois ans, terrorisé, qui débarque, caché dans une valise, dans l’antichambre de la mort, Buchenwald, à quelques semaines de la libération du camp. Il est le précieux fardeau d’un juif polonais, Jankowski, qui s’est juré de sauver le gamin, après que sa famille a disparu entre le ghetto de Varsovie et Auschwitz. Sa chance : il arrive dans un camp de concentration où la résistance est structurée et a organisé sa propre libération, imminente. C’est un jeune communiste, Hans Pippig (Florian Stetter), qui trouve le gamin et décide de le protéger. Le chef de la résistance du camp, André Höfel (Sylvester Groth), est plus mesuré : la libération du camp, c’est 50 000 vies. La tête de la résistance doit-elle se mettre un danger pour un seul individu, fût-il un enfant ? L’enfant est caché, au final, mais une dénonciation anonyme met en péril les chefs de la résistance, qui vont être soumis à d’atroces tortures...

Le film l’Enfant de Buchenwald est tiré du roman de l’écrivain est-allemand Bruno Apitz, Nu parmi les loups. Paru en 1958, le livre a été un succès de librairie dans le monde entier. Bruno Apitz, lui-même communiste, a passé huit ans à Buchenwald. Même s’il n’a pas participé au sauvetage de cet enfant, il est parti d’une réalité simple : en 1945, lorsque les Américains sont arrivés à Buchenwald, ils ont trouvé dans le camp 904 enfants. Dont le plus jeune, celui dont est tirée cette histoire, Jerzy Zweig.

L’adaptation du roman est plutôt réussie. Philipp Kadelbach, le réalisateur, est à la fois habitué du film de guerre et de l’écriture télévisuelle : il est le réalisateur de la série Generation War, qui a obtenu un joli succès critique. Émaillé d’images d’archives, le téléfilm met en avant ces hommes, pour qui l’enfant devient un symbole de la vie et un enjeu aussi collectif que personnel face à la barbarie. C’est là tout l’intérêt du roman d’Apitz comme de ce téléfilm : montrer que des hommes, même sous la plus atroce des dictatures, peuvent encore trouver le courage de dire non.» (Em L'Humanité)

08 abril 2015

Câmaras sensíveis e humanistas

O fotógrafo Horace Warner
e crianças inglesas em 1912




O peso do acaso na História

Os malditos 13
minutos de atraso






 

"Media" e Frente Nacional

Acho que o problema é mais
complexo mas isto também conta



«Laurent Ruquier a-t-il raison de faire ce mea culpa? A-t-il raison de pointer sa responsabilité, et plus largement celle de tous les médias chez qui Eric Zemmour [*] a table ouverte, dans la propagation, la banalisation et le succès de ses thèses? Plus largement encore, les médias de masse ont-ils une part de responsabilité dans le succès croissant du FN, dont les thèses sont les mêmes que celles d’Eric Zemmour sur l’économie comme sur les valeurs?
La réponse est oui. En fait, lorsqu’il explique le succès d’Eric Zemmour par sa colossale exposition médiatique, Laurent Ruquier remet au goût du jour une découverte de la psychologie sociale américaine des années 1960: l’effet de simple exposition.
A l’époque, le psychologue Robert Zajonc a conduit des expériences qui lui ont permis d’établir ceci: l’être humain tend à développer un sentiment positif envers une chose à force d’y être exposé répétitivement. Le scientifique a poussé les expériences jusqu’à constater que cela fonctionnait sur des mots ne voulant rigoureusement rien dire. Résultat édifiant: malgré l’absence totale de sens, les groupes testés développaient un sentiment de plus en plus positif envers ce mot.
La conséquence logique de l’effet de simple exposition est la suivante: effectivement, parce qu’ils l’ont massivement surexposé pendant plusieurs années, les médias ont une part de responsabilité directe dans la propagation, la banalisation et le succès des thèses d’Eric Zemmour. Plus largement, cet effet de simple exposition vaut pour l’extrême droite en général. À force de matraquage médiatique de reportages, d’articles et d’interviews en feu roulant, avec pour angle répétitif «la-montée-du-FN-la-dédiabolisation-du-FN-la-transformation-du-FN», les médias ont une part de responsabilité dans les succès électoraux croissants de ce parti.
L’on pourrait objecter que les médias ont un devoir d’information, de pluralisme. Que par conséquent, il était de leur devoir de donner une place aussi bien aux thèses d’Eric Zemmour qu’à des reportages, articles et interviews sur le FN. C’est vrai, mais ce n’est pas le problème.
Le problème, c’est la disproportion. Dans le cas d’Eric Zemmour, il est flagrant que les tenants de thèses opposées aux siennes sur les sujets qu’il aborde sont actuellement sous-représentés dans les médias. Et dans le cas du FN, les élections départementales sont un cas d’école d’omniprésence d’un thème et d’un seul, sensationnaliste, au détriment colossalement disproportionné de tous les autres angles et sujets possibles.
Le mot «médias» vient du latin «medium», au sens du mot «intermédiaire». C’est précisément ce que sont les médias et donc les journalistes qui y travaillent. Ni des passeurs de plats, ni des agents de spectacle: des intermédiaires vigilants entre la pluralité des faits et des opinions d’un côté, et le public de l’autre.»

07 abril 2015

A decisão do TC e...

... a pergunta que se impõe


As notícias de há pouco o que dizem é que o Tribunal Constitucional indeferiu os recursos, como o da CDU, que reclamavam uma nova assembleia de apuramento dos votos na Madeira, pelo que, não sendo adiantados quaisquer elementos de justificação, forçoso é concluir que o TC terá entendido que a assembleia de apuramento realizada na Madeira decorreu de forma normal, límpida e irrepreensível. E, para já, eu só pergunto : é digno de um Estado de direito democrático (é assim que, não por acaso, fala a Constituição) e de um elementar respeito pelos cidadãos que as dúvidas, perguntas e estranhos factos oportunamente noticiados e invocados (ver, por exemplo aqui) fiquem amortalhados nesta simples comunicação de um indeferimento ?

Uma grande luta que continua

Se ouvir falar do (insuficiente)
aumento do salário mínimo
no McDonald's saiba
o que está por detrás

 ler aqui

 a má notícia :