Un Sospiro
23 outubro 2011
22 outubro 2011
Hoje num jornal perto de si...
e não fui eu que escrevi
Além de outras verdades incómodas, alguém escreveu isto hoje num jornal:
«(...)Quando a "revolução árabe" chegou à Líbia foi tratada pelo mesmo príncipio de amálgama com o caso egípcio e tunisino, mas quem conhecia o que passava sabia que havia uma forte componente tribal no conflito que não era novo na Líbia e tinha já originado a divisão pelos italianos do país em duas colónias, a Cirenaica e a Tripolitânia. Khadafi respondeu à ameaça ao seu seu poder como sempre o fez, com toda a violência possível. A diferença no caso líbio é que quando se percebeu que Khadafi iria derrotar militarmente os seus adversários, países como a França, e em menor grau o Reino Unido e com alguma relutância os EUA começaram a desencadear um clamor internacional para defender os «civis» líbios a ameaçar fazer uma intervenção militar. Os franceses foram particularmente activos.
Após um processo complicado de negociações foi aprovada na ONU a Resolução 1973, que abriu caminho à intervenção militar naquilo que era uma guerra civil na Líbia. Uma mera leitura dessa Resolução revela que, tomada à letra, ela tinha muito mais sentido para países como a Síria, cuja matança de civis e muito mais significativa do que na Líbia, onde havia uma revolta armada. Mas na Síria, Bashir El Assad pode matar os civis que quiser sem ter os caças da OTAN a sobrevoar Damasco.
Se voltarmos à Resolução é fácil ver que ela está longe de legitimar o tipo de intervenção que culminou no assassinato de Khadafi. Ela fala de «interdição do espaço aéreo", na ajuda humanitária, num embargo de armas ao regime líbio e, embora tenha uma forma ambígua que oermitia «usar todos os meios necessários para proteger os civis», estava longe de legitimar o que aconteceu. O que aconteceu, à completa revelia da resolução, foi uma intervenção militar da OTAN ao lado dos revoltosos líbios, actuando como parte integrante político e militar de uma das partes numa guerra civil. Os bombardeamentos a Tripoli tinham como objectivo instalações militares e civis de Khadafi, o governante reconhecido por eles próprios como chefe de Estado de um país soberano, a que se somou a participação total em operações concertadas, com a presença de "consultores" e instrutores de forças especiais no terreno, fornecimento de armas aos revoltosos e perseguição directa a Khadafi e à sua família. Durante este período os revoltosos competiram com Khadafi em todo o tipo de abusos de direitos humanos, fuzilando prisioneiros, torturando e matando opositores e impondo às populações civis, que suspeitavam de ser simpatizantes de Khadafi, todo o tipo de violências. A imprensa permaneceu regra geral silenciosa sobre estes actos, e a opinião pública ocidental e árabe indiferente ao que passava na Líbia. Deste ponto de vista, Khadafi foi bem escolhido, porque se fosse Bashir El-Assad outra história diferente estaria a ser escrita e é também por isso que ele pode continuar a matar os seus civis à vontade. E não tem petróleo.
Quando Khadafi foi, por fim, assassinado, num ataque militar que começou com aviões da OTAN e terminou com uma execução sumária, não foi o «povo» líbio que ganhou a guerra. Foram Sarkozy, Cameron e Obama e é por isso que toda esta história é muito bizarra. Porquê ? E para quê ?».
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Da minha lavra, só fica uma pergunta:
porque é que a imprensa portuguesa
ocultou esta notícia referida aqui
ocultou esta notícia referida aqui
neste blogue ?
imagens nada recomendáveis sobre Khadafi
antes e depois de ser assasinado aqui
antes e depois de ser assasinado aqui
Porque hoje é sábado ( 310 )
Beata Pater
A sugestão musical de hoje destaca
a cantora norte-americana de jazzBeata Pater,
cujo último álbum
se intitula Blue.
(13 canções disponíveis aqui).
a cantora norte-americana de jazzBeata Pater,
cujo último álbum
se intitula Blue.
(13 canções disponíveis aqui).
em Afro Blue, uma composição
celebrizada por John Coltrane
Freedom Song
Freedom Song
Combates da memória
Há 70 anos
Os fuzilados de Châteaubriand
Os fuzilados de Châteaubriand
Sintese colhida aqui
20 octobre 1941 - L'officier allemand Holtz est abattu par des résistants, à Nantes.
Le 20 octobre 1941, près de la cathédrale de Nantes, deux jeunes Parisiens, Gilbert Brustlein et Guisco Spartaco, rencontrent sur leur chemin deux officiers allemands, le lieutenant Holtz et le médecin-capitaine Sieger. Ils leur emboîtent le pas. Au moment de tirer, l'arme de Spartaco s'enraye, mais le revolver de Brustlein atteint Holtz qui s'effondre.
La réaction de l'occupant nazi est immédiate : à Châteaubriant, une commune située à environ 70 km de Nantes, des troupes allemandes viennent renforcer la gendarmerie française qui assure la garde du camp de Choisel. Un officier allemand se présente au camp pour y consulter la liste des prisonniers. La majorité d'entre eux sont des détenus politiques arrêtés par le gouvernement du maréchal Pétain.
21 octobre 1941 - Les nazis annoncent l'exécution de cinquante "otages", en représailles de la mort de l'officier allemand Holtz.
Le 20 octobre 1941, près de la cathédrale de Nantes, deux jeunes Parisiens, Gilbert Brustlein et Guisco Spartaco, rencontrent sur leur chemin deux officiers allemands, le lieutenant Holtz et le médecin-capitaine Sieger. Ils leur emboîtent le pas. Au moment de tirer, l'arme de Spartaco s'enraye, mais le revolver de Brustlein atteint Holtz qui s'effondre.
La réaction de l'occupant nazi est immédiate : à Châteaubriant, une commune située à environ 70 km de Nantes, des troupes allemandes viennent renforcer la gendarmerie française qui assure la garde du camp de Choisel. Un officier allemand se présente au camp pour y consulter la liste des prisonniers. La majorité d'entre eux sont des détenus politiques arrêtés par le gouvernement du maréchal Pétain.
21 octobre 1941 - Les nazis annoncent l'exécution de cinquante "otages", en représailles de la mort de l'officier allemand Holtz.
Le 21 octobre 1941, le général Von Stülpnagel, commandant militaire en France, annonce par voie d'affiche :
"En expiation de ce crime, j'ai ordonné préalablement de faire fusiller cinquante otages (...) cinquante autres otages seront fusillés au cas où les coupables ne sont pas arrêtés d'ici le 23 octobre 1941, à minuit. J'offre une récompense (...) de quinze millions de francs aux habitants du pays qui contribueraient à la découverte du coupable"
Le choix des "otages" est laissé à la discrétion du gouvernement de Vichy. Les Allemands présentent au ministre de l'intérieur, Pierre Pucheu, une liste de cent détenus. Les noms de cinquante personnes sont retenus, essentiellement des communistes. L'exécution du premier groupe d'otages se prépare.
Le 21 octobre 1941, à Bordeaux, un autre officier allemand, le conseiller d'administration militaire Reimers, est abattu par Pierre Rebière.
La riposte des autorités allemandes est la même : cinquante otages fusillés, cinquante otages en sursis jusqu'à l'arrestation des coupables, une récompense de quinze millions de francs offerte aux dénonciateurs.
22 octobre 1941 - Les nazis exécutent quarante huit otages français, dont vingt-sept à Châteaubriant, en représailles de la mort de l'officier allemand Holtz.
Le mercredi 22 octobre, en début d'après-midi, les Allemands regroupent à Châteaubriant, au camp de Choisel, vingt-sept otages.
Dans une baraque du camp, ils peuvent écrire une dernière lettre, avant d'être conduits à la carrière de la Sablière, située à la sortie de la ville, pour y être exécutés.
Leur exécution se déroule en trois salves, à 15 h 50, 16 h 00 et 16 h 10.
Tous refusent d'avoir les yeux bandés et les mains liées. Ils meurent en chantant la Marseillaise. »
"En expiation de ce crime, j'ai ordonné préalablement de faire fusiller cinquante otages (...) cinquante autres otages seront fusillés au cas où les coupables ne sont pas arrêtés d'ici le 23 octobre 1941, à minuit. J'offre une récompense (...) de quinze millions de francs aux habitants du pays qui contribueraient à la découverte du coupable"
Le choix des "otages" est laissé à la discrétion du gouvernement de Vichy. Les Allemands présentent au ministre de l'intérieur, Pierre Pucheu, une liste de cent détenus. Les noms de cinquante personnes sont retenus, essentiellement des communistes. L'exécution du premier groupe d'otages se prépare.
Le 21 octobre 1941, à Bordeaux, un autre officier allemand, le conseiller d'administration militaire Reimers, est abattu par Pierre Rebière.
La riposte des autorités allemandes est la même : cinquante otages fusillés, cinquante otages en sursis jusqu'à l'arrestation des coupables, une récompense de quinze millions de francs offerte aux dénonciateurs.
22 octobre 1941 - Les nazis exécutent quarante huit otages français, dont vingt-sept à Châteaubriant, en représailles de la mort de l'officier allemand Holtz.
Le mercredi 22 octobre, en début d'après-midi, les Allemands regroupent à Châteaubriant, au camp de Choisel, vingt-sept otages.
Dans une baraque du camp, ils peuvent écrire une dernière lettre, avant d'être conduits à la carrière de la Sablière, située à la sortie de la ville, pour y être exécutés.
Leur exécution se déroule en trois salves, à 15 h 50, 16 h 00 et 16 h 10.
Tous refusent d'avoir les yeux bandés et les mains liées. Ils meurent en chantant la Marseillaise. »
21 outubro 2011
Grécia - um outro lado da austeridade
"Le tableau de la santé des Grecs est très préoccupant", juge David Stuckler, sociologue à l'université de Cambridge qui a dévoilé les conclusions de son étude dans le journal médical Lancet.
Des coupes budgétaires considérables et l'augmentation du chômage à 16% conduisent de plus en plus de Grecs à la dépression et à la drogue, tandis que la réduction des budgets des hôpitaux et des services médicaux privent de nombreuses personnes d'accès aux soins.
"Nous constatons (...) des tendances très inquiétantes, un doublement des cas de suicides, une hausse des homicides, une augmentation de 50% des infections au virus HIV et des gens qui nous disent que leur santé a empiré mais qu'ils ne peuvent plus consulter de médecins même s'ils devraient le faire", ajoute le sociologue.
Sévères mesures d'austérité
Ces deux dernières années, le gouvernement grec a imposé de sévères mesures d'austérité pour tenter de réduire sa dette colossale. La Grèce connaît sa plus grande récession depuis 40 ans et a dû accepter un plan de sauvetage du Fonds monétaire international (FMI) et de l'Union européenne (UE).
Selon l'équipe de chercheurs de Stuckler, le taux de suicide a augmenté de 17% entre 2007 et 2009, mais un chiffre officieux donné par des parlementaires grecs fait état d'une hausse comprise entre 25 et 40%.
Augmentation des suicides
Parmi les faits divers qui ont choqué les Athéniens, un ancien homme d'affaires s'est défénestré, laissant un mot où il expliquait que la crise financière avait eu raison de lui. Un propriétaire d'un petit magasin a été retrouvé pendu sous un pont, avec une lettre où l'on pouvait lire: "ne cherchez pas d'autres raisons. La crise économique m'a conduit à ça".
Effets désastreux de la crise sur le budget de la santé
Martin McKee, de la London school of hygiene and tropical Medicine, qui a travaillé avec David Stuckler, estime que d'autres pays européens devraient prêter attention à ce qui se passe en Grèce.
"Ce qui a lieu en Grèce montre ce qui peut se passer en cas de coupes budgétaires importantes dans le domaine de la santé (...) ", a-t-il dit lors d'une interview téléphonique.
Accroissement des infections au HIV, hausse de la consommation de la drogue
Dans leur étude, les chercheurs ont également mis à jour un augmentation significative d'infections au HIV en Grèce à la fin de l'année 2010. Selon leurs prévisions, les contaminations vont augmenter de 52% cette année par rapport à l'an passé.
La consommation d'héroïne a augmenté de 20% en 2009, chiffre à rapprocher avec la diminution d'un tiers des programmes de lutte contre la drogue en raison des économies budgétaires.
(o estudo publicado na prestigiada revista
de medicina Lancet está disponível aqui)
de medicina Lancet está disponível aqui)
20 outubro 2011
Por cá também há quem pense...
... que um jornalista deve ser
um cidadão com direitos diminuidos
um cidadão com direitos diminuidos
A ler aqui a história do despedimento pela
rádio nacional pública (NPR) dos EUA
rádio nacional pública (NPR) dos EUA
da free-lancer Lisa Simeone por ter
usado da palavra numa das
concentrações em Wall Street.
E, de seguida, Lisa Simeone
usado da palavra numa das
concentrações em Wall Street.
E, de seguida, Lisa Simeone
apresentada aqui pela própria NPR
E, para quem não saiba, informo que ainda
hoje se pode ler no Livro de Estilo do Público no
hoje se pode ler no Livro de Estilo do Público no
o seguinte:
(...)
(...)
3. Não envolvimento público em tomadas de posição de carácter político, comercial, religioso, militar, clubístico ou outras que, de algum modo, comprometam a imagem de independência do PÚBLICO e dos seus jornalistas.
Por exemplo: tempos de antena a favor desta ou daquela figura política ou agrupamento partidário; campanhas publicitárias, abaixo-assinados e tomadas de posição notoriamente sectarizados e/ou tendenciosos — como é o caso do facciosismo clubístico, regionalista ou similar —, susceptíveis de contrariar os requisitos de isenção e objectividade do jornalista. (...) Todas as situações e circunstâncias particulares que possam constituir excepções a esta regra genérica deverão ser expostas à Direcção e ao Conselho de Redacção. (...)
Em síntese: jornalismo e militância política, clubística, cultural ou qualquer outra configuram um permanente e irresolúvel conflito de interesses »
19 outubro 2011
Sem qualquer tacticismo
Apenas três notas sobre Cavaco
2. Já quanto à equidade fiscal, se porventura a ideia do Presidente da República é que asssim não falaria se os trabalhadores do sector privado tivessem sido igualmente atingidos, então não outro remédio do que responder, sem punhos de renda, que a exigência do momento actual é a de anular essa gravosa injustiça e ataque aos trabalhadores da função pública e não alargá-la aos demais trabalhadores (como acaba de defender Vítor Bento, Conselheiro de Estado nomeado por Cavaco).
3.O Presidente da República não se pode queixar de qualquer injustiça na suposição, temor ou suspeita formulada no ponto anterior. Tem uma maneira muito simples de a afastar ou derrotar: é declarar, preto no branco, que o seu objectivo e o sentido das suas palavras é que seja eliminado do OE para 2012 os cortes de subsídios à função pública. Por mim , e nos ásperos e difíceis tempos que correm, se tal acontecesse, estaria inteiramente disponível para reconhecer que se tratava de uma contribuição positiva do PR para alargar o clima nacional de repúdio de uma medida socialmente repugnante e economicamente desastrosa.
Para além de uma referência feita junto a jornalistas de que o corte do subsídio de férias e de Natal aos trabalhadores da função pública representaria uma violação do príncipio da «equidade fiscal», Cavaco Silva declarou hoje no Congresso da Ordem dos Economistas que “a austeridade orçamental, só por si, não garante que, no futuro, o país se encontrará numa trajectória de crescimento económico e melhoria das condições de vida” e que “é necessário evitar que cresça na sociedade portuguesa o sentimento de que é injusta a distribuição dos sacrifícios, que se exige relativamente menos aos que têm maior capacidade contributiva do que a muitos outros com rendimentos mais baixos”.
Sobre estas afirmações concretas recuso-me completamente a alinhar na polvorosa que por aí vai de que «Cavaco tirou o tapete ao Governo» ou que «Cavaco é agora o líder da oposição» e também não quero cometer a simplificação ou fazer o processo de intenções que seria dizer que há alguém que sempre apoiou um determinado caminho de agressão e agora quer ficar bem no retrato e em alguma sintonia com os agredidos. Limito-me antes a registar sobriamente que:
1. Em relação às afirmações de Cavaco Silva no Congresso da Ordem dos Economistas acima citadas, o PCP anda a dizê-lo e de forma mais clara e imperativa do que Cavaco desde os tempos do primeiro PEC. Em contrapartida, Cavaco Silva ainda há bem pouco tempo ao mesmo tempo que reafirmava o seu apoio ao acordo com a troika reclamava mais crescimento económico, como se não soubesse que nunca se viu apagar incêndios com gasolina ou conseguir misturar o vinagre com o azeite. (ponto importante: não se confunda o que se acaba de ler com a pesporrente e arrogante declaração de António José Seguro de que "Verifico com agrado que o senhor presidente da República tem estado atento e seguido as minhas declarações em relação ao OE»).
2. Já quanto à equidade fiscal, se porventura a ideia do Presidente da República é que asssim não falaria se os trabalhadores do sector privado tivessem sido igualmente atingidos, então não outro remédio do que responder, sem punhos de renda, que a exigência do momento actual é a de anular essa gravosa injustiça e ataque aos trabalhadores da função pública e não alargá-la aos demais trabalhadores (como acaba de defender Vítor Bento, Conselheiro de Estado nomeado por Cavaco).
3.O Presidente da República não se pode queixar de qualquer injustiça na suposição, temor ou suspeita formulada no ponto anterior. Tem uma maneira muito simples de a afastar ou derrotar: é declarar, preto no branco, que o seu objectivo e o sentido das suas palavras é que seja eliminado do OE para 2012 os cortes de subsídios à função pública. Por mim , e nos ásperos e difíceis tempos que correm, se tal acontecesse, estaria inteiramente disponível para reconhecer que se tratava de uma contribuição positiva do PR para alargar o clima nacional de repúdio de uma medida socialmente repugnante e economicamente desastrosa.
Informação importante mas...
... falta acrescentar qualquer coisa
Não está em causa a verdade relativa desta manchete do Público de hoje nem o trabalho que este jornal publica na 2ª página sobre o tema designadamente um gráfico devastador sobre a evolução do poder de compra dos trabalhadores da função pública nos últimos 15 anos.
Acontece porém, porque as manchetes são manchetes, que esta só estará certa do estrito ponto de vista das remunerações dos trabalhadores da função pública. A manchete não o podia talvez dizer mas creio ser indispensável acrescentar que vão perder isto e tudo o mais que os outros trabalhadores, reformados, pessoas envolvidas em outras situações ou consumidores vão perder com o agravamento de preços e de impostos, com custos com a saúde e educação, com a perda de regalias e direitos sociais. Ou seja, vão perder muito mais que 17%.
Basta ouvir alguns fóruns na TSF (que não são obviamente uma sondagem mas apenas um espaço propício ao activismo de opinião) para se perceber que o corte do subsídio de férias e de Natal apenas aos trabalhadores da função pública parece ser motivo de regozijo para alguns e pretexto para o regresso de todas as caricaturas e animosidades em relação à função pública, sim aquela função pública que nos trata nos hospitais, que ensina os nossos filhos nas escolas, que garante a segurança nas ruas, que faz com que haja água nas nossas torneiras e por aí fora a perder de vista.
E, com isto, o que se desvenda é que, centrados na desgraça maior de outros, bem pode haver alguns que, para supremo benefício do governo, se vão esquecendo do que eles próprios vão sofrer duramente na pele. Acordem, por favor !.
18 outubro 2011
17 outubro 2011
Maldito Twitter, disse o Relvas
Sim, também faço
a mesma pergunta final
a mesma pergunta final
"Já ouvi o primeiro-ministro dizer que o PSD quer acabar com o 13.º mês, mas nós nunca falámos disso e é um disparate." "Como é possível manter um governo em que um primeiro-ministro mente?"
-Pedro Passos Coelho ainda este ano na sua conta twitter que Miguel Relvas ainda não mandou apagar.
16 outubro 2011
Manifestações mundiais de ontem
Um poderoso afluente para
o grande rio de lutas que faz falta
o grande rio de lutas que faz falta
Madrid
Lisboa
Santiago do Chile
Bruxelas
(fotos em El País)
O título deste post resume o que, de essencial, tenho a dizer neste momento: ou seja, uma constatação política tão objectiva quanto é possível e que, ao mesmo tempo, define uma atitude individual que se caracteriza por pôr as repercussões e o significado mais profundo deste mal-estar geral e desta indignação acima de divergências quanto a formulações ou concepções alheias e sobretudo das minhas óbvias distâncias em relação a quantos, numa altura destas, se deixarem dominar pelo seu velho pendor para, por comparação, denegrir todas as outras - persistentes, sólidas e coerentes - formas e iniciativas de luta que têm acontecido e vão continuar a acontecer (mesmo que não obtenham a publicitação prévia e o justo destaque mediático posterior de outras).
15 outubro 2011
É preciso um sobressalto nacional !
Palavras gravadas na pedra
Hoje, em Lisboa (e outras cidades),
às 15 hs, do Marquês de Pombal
para S.Bento, manifestação do «15O»
sob lema «a democracia sai à rua» e
terça-feira
às 15 hs, do Marquês de Pombal
para S.Bento, manifestação do «15O»
sob lema «a democracia sai à rua» e
terça-feira
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