19 julho 2016

Quando as purgas não são golpe

Pelos vistos, as listas
estavam prontinhas


Quatre jours après la tentative de putsch, la purge menée d’une main de fer par le président Erdogan s’amplifie. Après l’armée et la justice, elle touche désormais le monde de l’enseignement.


Le ministère de l’éducation turc a annoncé mardi 19 juillet la suspension de plus de 15 000 de ses employés soupçonnés d’être liés au prédicateur Fethullah Gülen, accusé d’être derrière le putsch manqué et dont Ankara veut demander l’extradition aux Etats-Unis. Le ministère a annoncé dans un communiqué :
« 15 200 fonctionnaires du ministère de l’éducation (...) ont été suspendus, une enquête à été ouverte au sujet de ces individus »
Le Conseil de l’enseignement supérieur (YÖK) – l’organisme étatique qui supervise l’organisation des universités – a pour sa part demandé la démission de plus de 1 500 recteurs et doyens d’université, rapporte l’agence de presse gouvernementale Anatolie. Cette décision concerne les 1 577 recteurs et doyens des universités publiques et celles rattachées à des fondations privées, selon l’agence.

Em Le Monde


1 comentário:

  1. Esta provocação faz lembrar muitas outras, é um método historicamente bem conhecido, inclusive no nosso 25 de Abril!

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