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19 agosto 2017
18 agosto 2017
«A grande fome na Ucrânia»
Historiadora
contra cronista-historiador
Na sua crónica de hoje no «Público». citando um livro, Rui Tavares refere que nele se conta «como as técnicas de assassinato em massa foram primeiro experimentadas nesta zona da Europa por Estaline na Grande Fome da Ucrânia , entre 1930-33»
contra cronista-historiador

Por hoje, não venho tomar posição mas apenas facultar a informação de que esta tese já foi repetida milhares de vezes mas tem contestação. Nesse sentido, só venho facultar aos leitores que não os conheçam os textos de sentido contrário da historiadora francesa Annie Lacroix-Riz (antiga aluna da École normale supérieure (Sèvres), agregada de história, Doutora em Letras. Prof. de História Contemporânea na UYnierdidade Paris II- Denis Diderot).
Diz a Wikipédia :
«La controverse sur l'Holodomor
Dans une « présentation critique de documents originaux »34 sur l' « extermination par la faim » en Ukraine en 1933 (Holodomor en ukrainien), diffusée à ses étudiants en 200435 mise à jour36 et complétée37
en 2008, Lacroix-Riz conteste la présentation de cette famine comme
résultant d'une intention « génocidaire » du pouvoir soviétique,
préférant y voir « une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement »35, qui « résultait de phénomènes naturels et sociopolitiques »37. Elle s'appuie notamment sur les analyses de Wheatcroft et Davies38, qui, selon Mark Tauger, « réfutent décisivement les explications intentionnalistes »39. Elle dénonce une « opération de propagande », « un bobard » et préfère évoquer « une sérieuse disette conduisant à un strict renforcement du rationnement »40. Elle reprend à son compte l'analyse de Douglas Tottle (en) (selon lequel le Holodomor est une création « frauduleuse » de « propagandistes nazis »41), dont elle considère l'ouvrage « essentiel »36,42. Ses articles sur ce sujet furent au cœur d'une importante controverse.
À propos de la famine en Ukraine de 1932-33, elle écrit : « L'URSS a connu en 1932-1933 une sérieuse disette
conduisant à un strict renforcement du rationnement, pas une famine et
en tout cas pas une famine à "six millions de morts"… » et dénonce une
« opération de propagande », un « bobard », une « campagne de presse43 ». Cet article a suscité en 2006 de vives réactions, dans les associations de la diaspora ukrainienne, dont le Congrès mondial ukrainien44. À la suite de ces propos, une association d'Ukrainiens, soutenue par l'historien Stéphane Courtois, a organisé une pétition pour « appeler les plus hautes autorités de l’État à tout mettre en œuvre pour lutter contre le révisionnisme
stalinien », que l'on peut interpréter comme une demande de suspension
comme professeur d'université. Il s'en est suivi une contre-pétition,
dont les premiers signataires sont principalement des communistes dits
orthodoxes45.
Dans une interview de septembre 200746, interrogée par Daniel Laurent sur l'éventuelle dimension négationniste
de son démenti du génocide stalinien en Ukraine, l'historienne réplique
en accusant ses contradicteurs de vouloir surtout dédouaner les
« autonomistes » ukrainiens, antisémites auxiliaires des Einsatzgruppen :
« Qu’on cesse de prendre les criailleries des associations "ukrainiennes" ou présumées telles pour des propos scientifiques. Ce que celles-ci me reprochent, et elles l'avouent dans leurs sites, c'est avant tout de montrer, dans divers travaux, publiés, eux, tel Le Vatican, l'Europe et le Reich, que les mouvements "autonomistes" ukrainiens dépendaient financièrement de Berlin bien avant la Deuxième Guerre mondiale, qu'ils ont contribué à l’extermination des juifs et des Russes d’URSS (Raul Hilberg l'a exposé avant moi et plus longuement) et que Szepticky, évêque de Lemberg (autrichienne) puis Lwow (polonaise), a été le soutien de la stratégie autrichienne puis allemande en et contre la Russie, tsariste puis bolchevique, depuis les premières années du XXe siècle, sous l'égide du Vatican. Qu'il ait béni la division nazie "Galicia", et que les « autonomistes » ukrainiens aient participé en masse aux massacres de juifs et de Russes aux côtés de l'occupant allemand sont des affirmations qui rendent les associations "ukrainiennes" hystériques. Elles reposent sur des faits établis. »
ver também (em inglês)
- l’Ukraine, “Collaborators: Allied Intelligence and Organization of Ukrainian Nationalists”, https://www.archives.gov/iwg/
reports/hitlers-shadow.pdf - Douglas Tottle, Fraud, Famine and Fascism. The Ukrainian Genocide Myth from Hitler to Harvard, Toronto, Progress Book, 1987, http://www.garethjones.org/
tottlefraud.pdf
17 agosto 2017
16 agosto 2017
15 agosto 2017
Um livro estrangeiro por semana
352 pag, 25 €
Recensão crítica ao livro de Jean-Daniel Piquet aqui nos «Cahiers d'Histoire», nº 137:« 1. Cet ouvrage très détaillé et très bien indexé reprend un thème souvent évoqué dans la littérature de la Seconde Guerre mondiale, mais resté tabou dans l’opinion américaine malgré les travaux d’historiens « révisionnistes » depuis les années 1960, déterminés à mettre en cause les origines de la guerre froide. L’auteur est trilingue et a pu avoir accès aux archives. Il évoque dans le détail les longues négociations américano-soviétiques et soviéto-japonaises, qui n’empêchèrent finalement ni le largage des bombes les 6 et 9 août 1945, ni la déclaration de guerre de l’URSS au Japon le 8 août. Il met en fait en relief l’importance du rôle de l’URSS, jusque-là considéré comme secondaire par les historiens. Celle-ci s’était engagée en février à Yalta auprès du président Roosevelt à entrer en guerre contre le Japon dans les deux à trois mois qui suivraient la capitulation de l’Allemagne. Il s’agissait pour Washington de limiter au maximum les pertes américaines.
2. Mais
le Japon et l’URSS avaient conclu pour cinq ans un pacte de neutralité
en avril 1941, dont seule l’annonce de non-renouvellement au bout de
quatre ans s’avérait juridiquement possible. Une déclaration unilatérale
avant avril 1945 revenait à agir de manière analogue à l’Allemagne
nazie, qui engagea sans prévenir l’opération Barbarossa en violation
complète du pacte germano-soviétique.
3.Ce ne furent ni la crainte de perdre beaucoup d’hommes face à un peuple fanatisé – le Japon souhaitant capituler avant le 1er novembre
1945 – ni le désir d’impressionner l’URSS qui incitèrent Harry Truman à
employer la bombe atomique, mais bien la nécessité de prendre de
vitesse les Soviétiques, parfaitement logique de la part d’un
anticommuniste né (malgré un réel libéralisme politique qui l’amena en
interne à poursuivre la lutte contre la ségrégation raciale et les
injustices sociales, entamée par son prédécesseur). Il ne souhaitait pas
partager avec eux les fruits de la victoire, comme Franklin Roosevelt
était prêt à le faire. Mais c'est aussi, chez ce nouveau président, le
désir plus terre à terre de venger l’attaque surprise de Pearl Harbour
(qualifiée à tort de traîtrise si l’on sait qu’un message diplomatique
fut envoyé, mais non lu dans les temps) et les maltraitances contre les
prisonniers américains par « un peuple féroce et cruel ». Comme si ce
peuple n’avait pas été suffisamment puni par les bombardements
incendiaires – fait curieusement négligé dans le livre – sur ses villes.
Un général américain, Curtis Le May, avait lancé en février 1945 une
formule, attribuée par la suite – peut-être à tort – aux bombardements
sur le Viêt Nam : « Nous réduirons le Japon à l’âge de la pierre ».
Aussi, le 27 juillet 1945, Harry Truman envoya-t-il une injonction de
capitulation sans conditions qu’il savait inacceptable pour les
Japonais, désireux de garder leur monarchie et leur empereur. Il écrivit
ainsi le 23 juillet dans son carnet : « Nous publierons un message
d’avertissement demandant aux Japs de capituler et de sauver des vies.
Je suis sûr qu’ils n’en feront rien. Mais nous leur en aurons donné
l’occasion ».
4. Ce
ne furent pas les deux bombes atomiques qui précipitèrent la
capitulation japonaise, mais plutôt la déclaration de guerre soviétique
au Japon, pour qui une reddition inconditionnelle face aux États-Unis et
une occupation du pays par leur armée constituaient un moindre mal. La
menace communiste avait motivé, dans le passé, l’alliance de Hiro-Hito
avec Hitler et aurait débouché en 1945 sur la chute assurée de la
monarchie, que malgré leur intransigeance les Américains n’avaient pas
imposée. Cet enjeu politico-social n’est mis en relief qu’au début du
livre. On y lit qu’au fur et à mesure que s’accumulaient les défaites
militaires, la crainte d’une révolution communiste augmentait, bien
perceptible par exemple dans les notes à l’empereur de Funimaro Konoe,
Premier ministre japonais. Ainsi écrit-il : « Ce dont nous devons nous
inquiéter, c’est d’une révolution communiste qui irait de pair avec la
défaite ». À ce moment, il suggère de négocier avec les États-Unis et la
Grande-Bretagne. La situation va se modifier après la défaite allemande
de mai 1945 : un parti de la paix de plus en plus influent tentera à
Tokyo d’imposer un rapprochement avec l’URSS, en l’utilisant comme
intermédiaire.
5. Du
côté soviétique, l’enjeu idéologique ne constitue pas, loin s’en faut,
la seule motivation à la déclaration de guerre. On touche ici à une zone
d’ombre que seul l’historien russe Boris Slavinski a eu le courage à ce
jour d’explorer : loin de désirer la seule libération des peuples
opprimés, l’URSS était décidée à reprendre des territoires perdus en
1904, quitte à violer l’engagement pris à Yalta de conclure
préalablement un traité avec la Chine, et sur le terrain à commettre à
son tour des crimes de guerre. Il s’agissait de Sakhaline sud, des
chemins de fer en Mandchourie, de Dairen, de Port Arthur, et enfin de la
partie nord des îles Kouriles qui, elles, n’avaient jamais appartenu à
la Russie, quoi qu’en ait dit Moscou. L’auteur note quand même que « les
exigences sécuritaires primaient sur la légitimité ». De fait, cela
doit être précisé, en 1950, après la victoire de Mao Zedong, les
acquisitions mandchoues de l’URSS furent officiellement rendues à la
Chine, et ce, du vivant de Staline, même si la guerre de Corée, dans
laquelle les deux pays socialistes se sont engagés, retarda jusqu’en
1955 l’exécution de l’accord. Par ailleurs, rien ne permettait d’assurer
qu’après-guerre un nouveau pacte antikomintern sous la houlette des
États-Unis et/ou de la Grande-Bretagne n’allait pas se former dans la
région. L’ancien, précisons-le, était en 1936 doublement dirigé contre
l’URSS et la Mongolie extérieure, laquelle fut envahie à l’été 1939 par
le Japon, amenant l’URSS à intervenir, au moment même où elle signait le
pacte germano-soviétique. Vers 1947, le recrutement de criminels de
guerre nippons par l’Amérique de Truman, pour lutter contre le
communisme, montre que la motivation sécuritaire de Moscou n’était pas
infondée et qu’elle ne relevait pas du nationalisme et de
l’expansionnisme. En revanche, s’agissant des Kouriles, l’idéal
internationaliste s’en est trouvé passablement terni, au vu du
contentieux qui a toujours opposé les partis communistes japonais et
soviétique. Pris dans une course de vitesse, Staline, qui avait prévu à
la fin juin l’entrée en guerre pour le 25 août, accéléra la décision de
crainte, après Hiroshima, de perdre les droits territoriaux promis à
Yalta. Dans un premier temps, après Postdam, il l’avança au 11 août,
puis à l’annonce du largage de la première bombe A sur Hiroshima, il se
décida pour le 8. Mais la proclamation de Postdam enjoignant le
26 juillet le Japon à capituler sans conditions fut seulement formulée
par les États-Unis, le Royaume-Uni et la Chine sur la volonté du
président Truman, un point clé dont l’auteur tient peu compte quand il
veut souligner le machiavélisme de Staline. L’URSS, qui avait préparé
son propre texte quadripartite, similaire quant à la capitulation
inconditionnelle, fut écartée. Du coup, elle endossa le mauvais rôle,
faisant apparaître sa déclaration de guerre du 8 août comme une
traîtrise similaire à Pearl Harbour. On voit alors que Truman a bien
manœuvré pour exécuter sa vengeance et empêcher une occupation à
l’allemande de l’archipel nippon.»
14 agosto 2017
13 agosto 2017
Finalmente
Apresentando uma factura
a certos anticomunistas
a certos anticomunistas
"Cem anos. Tantos anos!
"Com a chegada dos dias santos
de Setembro a Novembro, começam
as comemorações. Na Praça Vermelha,
em Moscovo, com pouco lustro
e ainda menos entusiasmo.
Na Praça Kim Il-sung, em Pyonyang,
com aprumo e disciplina.
Na Praça da Revolução, em Habana,
com rum e saudades de Fidel.
Na Quinta da Atalaia, na Festa do Avante!,
com música e bifanas. E pouco mais."
de Setembro a Novembro, começam
as comemorações. Na Praça Vermelha,
em Moscovo, com pouco lustro
e ainda menos entusiasmo.
Na Praça Kim Il-sung, em Pyonyang,
com aprumo e disciplina.
Na Praça da Revolução, em Habana,
com rum e saudades de Fidel.
Na Quinta da Atalaia, na Festa do Avante!,
com música e bifanas. E pouco mais."
António Barreto no "DN"
Em curiosa coincidência temporal com o Portocarrero do «Observador», António Barreto perpetra hoje no DN o seu 159º julgamento sumário e epitáfio do «comunismo».
Não, não vou discutir um texto que celebra o século das independências coloniais mas se esquece da contribuição da URSS para isso. Não, não vou discutir um texto que, no fundo, equipara nazismo e comunismo mas se esquece de quem deu a maior contribuição militar, e com mais sacrifícios e mortos, para a derrota do primeiro. Não, não vou discutir este bafiento truque de reduzir a luta heróica dos comunistas de todo o mundo, desde logo com as resistências europeias ao fascismo e ao nazismo, à história e percurso da URSS e de outros países de Leste feitos de epopeias e tragédias.
Não, nada disso. vou sim escrever algo que ando há muito tempo para lembrar por causa deste e de outros Barretos, ou seja, de alguns que foram comunistas e depois ( casos há como o de Barreto que até começou por sair pela «esquerda») se tornaram ferozes anticomunistas.
É que ninguém nasce reaccionário ou fascista ou antifascista e democrata. Ora muitos destes Barretos o que nunca contam é como, no Portugal de Salazar, se tornaram democratas. Excluindo os casos de influência familiar directa, o que bem se pode dizer é que muitos deles, com alta probabilidade, se tornaram democratas porque em determinado momento das suas vidas tomaram contacto com uma qualquer ou várias das expressões da radicação e influência do PCP na sociedade portuguesa, seja uma colectividade, uma associação de estudantes, um cineclube, um suplemento literário, uma campanha eleitoral da oposição democrática, etc., etc.
Se não estivessem toldados pela cegueira e ódio anticomunistas, podiam ao menos agradecer ao PCP e ao famoso «comunismo» o facto de, chegado o 25 de Abril, terem podido ser, dizer-se ou apresentar-se como democratas.
"P." de padre
Hitler resolveu
o problema nas calmas
o problema nas calmas
Gonçalo Portcarrero de Almada, para quem não saiba, é uma espécie de João César das Neves de batina e distinguiu-se, entre outras bafientas causas, no combate à despenalização da interrupção voluntária da gravidez. Ah, e estejam descansados que eu não o mando para lado nenhum nem lhe proponho qualquer internamento.
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