Deborah Latz
11 agosto 2015
Um livro estrangeiro por semana (...)
Mais uma batalha por uma
memória histórica verdadeira
memória histórica verdadeira
Alter Ego Editions, 224 pg., 18 E.
s
Résumé : Ce livre raconte comment Perpignan est devenue la capitale des nostalgiques de l'Algérie française (les "nostalgériques" avec la création en 2003 d'une stèle OAS, d'un "mur des Français d'Algérie disparus" (2007) et d'un centre de documantation des FRançais d'Algérie en 2012.
Roger Hillel s'est lui-même impliqué pandant dix ans dans un collectif qui s'esr battu en vain contre cette triade incongrue et la falsification de l'histoire franco-algérienne.
Au-delà de la narration de ce combat, l'auteur s'attarde sur une des plius stimulantes expéroiences de sa vie militante : la découverte de l'existence de Pieds-Noirs progressistes.
Sobre esta obra, ler também aqui
Sugestão bem intencionada
Olha lá, ó "Portugal à frente",
não fazes um outdor com isto ?
manchete do JN
não fazes um outdor com isto ?
manchete do JN
Sobre os grandes benfeitores
Eu bem desconfiava
que a Alemanha não jogava a feijões
que a Alemanha não jogava a feijões
«Um estudo alemão divulgado esta segunda-feira sublinhou que os
benefícios para a economia alemã da crise da dívida do euro,
especialmente os mais baixos juros da dívida alemã, deverão ser
superiores aos gastos que o país possa ter, mesmo se a Grécia não pagar
as suas dívidas.
Segundo o Instituto de Investigação Económica de Halle (Leste da Alemanha), Berlim poupou 100 mil milhões de euros desde 2010, permitindo que a Alemanha tenha conseguido orçamentos equilibrados.
O
Instituto criou um modelo de uma situação fictícia “normal”, sem crise,
para estabelecer o que teriam sido as taxas de juro da dívida alemã, e
comparou-a com as taxas de juro reais ao longo da crise. Com os
investidores a considerarem a Alemanha um destino seguro e a procurarem
comprar mais dívida alemã, as taxas de juro desciam.
Mais:
analisando a relação entre a situação política e as taxas de juro, o
instituto nota que à media que pioravam as notícias da Grécia, mais
desciam as taxas de juro da dívida da Alemanha. O contrário também
acontecia: quando havia notícias encorajadoras da Grécia, a taxa de juro
alemã subia.
A Alemanha não foi o único país a beneficiar
deste efeito: França, EUA e Holanda também colheram benefícios, mas numa
escala menor. (...)»
10 agosto 2015
09 agosto 2015
Em 1970
«Régulièrement, l'industrie musicale nous fait le coup du
bonneteau. Une prise inédite, perdue au milieu de figures connues,
ressort miraculeusement de chutes de studios retrouvées, inopinément, à
la faveur d'un nettoyage de printemps. La plupart du temps, cet
incunable n'est qu'une illusion, l'habile tour de passe-passe d'une
industrie musicale en coma dépassé. Rares sont les vrais trésors égarés à
resurgir, telle la bande originale des Chemins de Katmandou, signée du
duo Serge Gainsbourg-Jean-Claude Vannier, enfermée dans une valise
poussiéreuse depuis... 1969 et sortie en avril dernier. Mais, quand le
label indépendant berlinois Grönland annonce avoir mis la main sur une
session allemande de Duke Ellington datant de 1970, nous sommes tout
ouïe. Surtout lorsque les informations attestent que ces bandes perdues
ont été captées au Studio Rhenus de Cologne, sous les auspices du
producteur de Krautrock Konrad «Conny» Plank. La rencontre entre deux
univers aussi éloignés que la planète Terre l'est de la nébuleuse Alpha
du Centaure avait tout de la gageure et de la légende urbaine. La
session secrète, qui aurait été redécouverte lors de la succession du
producteur de Kraftwerk, de Can et de Cluster, offre deux morceaux, le
swing Alredo et l'avant-gardiste Afrique, de trois prises chacun.
On sait peu de choses des circonstances qui auraient présidé à ces
enregistrements, sinon que la légende du jazz américain au crépuscule de
sa vie et le producteur qui allait contribuer à inventer le son de la
musique industrielle européenne avaient une admiration réciproque. Le
résultat sonne comme une répétition, où le «Duke» et son orchestre
expérimentent. Surtout sur Afrique, un morceau qui sera enregistré en
1971 dans une version différente, sur l'un des tout derniers et très
modernes albums du pianiste, The Afro-Eurasian Eclipse. Cette session
perdue aura été leur seule collaboration, elle n'en est donc que plus
précieuse. En 1974, Duke Ellington succombe, à New York, à un cancer du
poumon ; Conny Plank, lui, au sommet de sa contribution à Kraftwerk, est
aux pupitres de leur Autobahn. En route pour la légende.»
The Conny Plank Session, de Duke Ellington & His Orchestra, Grönland.
(texto de Marianne.net)
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