Por pura propaganda e serviço ao governo ainda se encontram muitos que todos os dias nos media conseguem conciliar esta brutal austeridade com crescimento económico e criação de emprego. Mas não há nem um cidadão com dois dedos de testa nem um único economista sério em Portugal que consiga explicar como se pode realizar um tal milagre nunca antes visto.
19 abril 2013
Não, não fui eu que disse !
Esse grande sectário
chamado João Cravinho
chamado João Cravinho
"O PS «está na posição de conduzir uma oposição clássica, de alternância, em que basta esperar capitalizar o descontentamento com o governo em funções e herdar o poder». Este ex-ministro da Obras Públicas [João Cravinho] exemplifica a situação com o próprio governo que integrou: «Sabia-se que, depois de Cavaco, viria um governo do PS que não mexeria no essencial no cavaquismo, apenas faria o mesmo, mas do seu jeito»".
- no Público de hoje, no meio de uma peça
PS sobre o PS quarenta anos após a sua
fundação (que se assinala hoje).
PS sobre o PS quarenta anos após a sua
fundação (que se assinala hoje).
E pronto, por mim só digo que estou farto destes comunas sempre sectariamente a equiparar o PS à direita e a tomar o PS como seu inimigo principal.
Bela Turquia
Ai és ateu e di-lo em público ?
Toma lá 10 meses de prisão !
Toma lá 10 meses de prisão !
Turquie: les athées en prison
Mardi 16 Avril 2013 à 11:30 | Lu 3798 fois I 12 commentaire(s)
Le compositeur et pianiste Fazil Say, l'une des gloires de la culture
contemporaine turque, a été condamné à 10 mois de prison avec
sursis pour "insulte aux valeurs religieuses d'une partie de la
population". Il avait proclamé son athéisme en citant un poème
d'Omar Khayyam...
Encore une fausse note dans le pseudo-régime islamiste
chanté de Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre turc.
Le compositeur et pianiste Fazil Say, poursuivi pour blasphème au
motif qu'il avait cité un délicieux quatrain moqueur d'Omar
Khayyam, le poète persan du XIème siècle, a été condamné
le 15 avril à dix mois de prison avec sursis par un tribunal d'Istanbul.
Il ne peut pas quitter le pays durant cette période.
Tel est le prix de « l'insulte aux valeurs religieuses d'une
partie de la population » selon les termes du verdict.
Fazil Say, reconnu dans le monde entier pour son talent,
et qui n'a cessé de prouver l'amour porté à sa Turquie natale
en allant enseigner la musique et le rêve de la beauté dans les
campagnes illettrées, appartient donc officiellement aux
ennemis « d'une partie de la population ».
Une phrase sur Facebook, un tweet, une citation, un éclat
de rire et, hop, on passe du mauvais côté. C'est vite fait,
vite joué: c'est la démocratie rêvée à la turque de l'AKP,
celle que nous chantaient sur tous les tons les experts
il n'y a pas si longtemps. J'en avais dénoncé les mirages
en 2011 ( dans l'Imposture turque, Grasset) alors que
Fazil Say n'était pas encore poursuivi mais que la Turquie
avait déjà franchi toutes les bornes des atteintes à la liberté
d'expression en emprisonnant le plus grand nombre de
journalistes au monde, selon le recensement de Reporters
sans Frontières.
Depuis, la multiplication des procès d'opinion,
l'autoritarisme dévastateur d'Erdogan, l'arrogance de la caste
islamo-bourgeoise au pouvoir, la situation de plus en plus
préoccupante faite aux femmes - fer de lance jadis de la
révolution d'Ataturk comme ce fut plus tard le cas avec
Bourguiba en Tunisie- n'ont fait que confirmer mon analyse.
Le compositeur et pianiste Fazil Say, l'une des gloires de la culture
contemporaine turque, a été condamné à 10 mois de prison avec
sursis pour "insulte aux valeurs religieuses d'une partie de la
population". Il avait proclamé son athéisme en citant un poème
d'Omar Khayyam...
Encore une fausse note dans le pseudo-régime islamiste
chanté de Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre turc.
chanté de Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre turc.
Le compositeur et pianiste Fazil Say, poursuivi pour blasphème au
motif qu'il avait cité un délicieux quatrain moqueur d'Omar
Khayyam, le poète persan du XIème siècle, a été condamné
le 15 avril à dix mois de prison avec sursis par un tribunal d'Istanbul.
Il ne peut pas quitter le pays durant cette période.
Khayyam, le poète persan du XIème siècle, a été condamné
le 15 avril à dix mois de prison avec sursis par un tribunal d'Istanbul.
Il ne peut pas quitter le pays durant cette période.
Tel est le prix de « l'insulte aux valeurs religieuses d'une
partie de la population » selon les termes du verdict.
partie de la population » selon les termes du verdict.
Fazil Say, reconnu dans le monde entier pour son talent,
et qui n'a cessé de prouver l'amour porté à sa Turquie natale
en allant enseigner la musique et le rêve de la beauté dans les
campagnes illettrées, appartient donc officiellement aux
ennemis « d'une partie de la population ».
et qui n'a cessé de prouver l'amour porté à sa Turquie natale
en allant enseigner la musique et le rêve de la beauté dans les
campagnes illettrées, appartient donc officiellement aux
ennemis « d'une partie de la population ».
Une phrase sur Facebook, un tweet, une citation, un éclat
de rire et, hop, on passe du mauvais côté. C'est vite fait,
vite joué: c'est la démocratie rêvée à la turque de l'AKP,
celle que nous chantaient sur tous les tons les experts
il n'y a pas si longtemps. J'en avais dénoncé les mirages
en 2011 ( dans l'Imposture turque, Grasset) alors que
Fazil Say n'était pas encore poursuivi mais que la Turquie
avait déjà franchi toutes les bornes des atteintes à la liberté
d'expression en emprisonnant le plus grand nombre de
journalistes au monde, selon le recensement de Reporters
sans Frontières.
de rire et, hop, on passe du mauvais côté. C'est vite fait,
vite joué: c'est la démocratie rêvée à la turque de l'AKP,
celle que nous chantaient sur tous les tons les experts
il n'y a pas si longtemps. J'en avais dénoncé les mirages
en 2011 ( dans l'Imposture turque, Grasset) alors que
Fazil Say n'était pas encore poursuivi mais que la Turquie
avait déjà franchi toutes les bornes des atteintes à la liberté
d'expression en emprisonnant le plus grand nombre de
journalistes au monde, selon le recensement de Reporters
sans Frontières.
Depuis, la multiplication des procès d'opinion,
l'autoritarisme dévastateur d'Erdogan, l'arrogance de la caste
islamo-bourgeoise au pouvoir, la situation de plus en plus
préoccupante faite aux femmes - fer de lance jadis de la
révolution d'Ataturk comme ce fut plus tard le cas avec
Bourguiba en Tunisie- n'ont fait que confirmer mon analyse.
l'autoritarisme dévastateur d'Erdogan, l'arrogance de la caste
islamo-bourgeoise au pouvoir, la situation de plus en plus
préoccupante faite aux femmes - fer de lance jadis de la
révolution d'Ataturk comme ce fut plus tard le cas avec
Bourguiba en Tunisie- n'ont fait que confirmer mon analyse.
18 abril 2013
Conferência de imprensa de hoje ou....
... o governo sabe que o 25 de Abril
e o 1º de Maio estão à porta
e o 1º de Maio estão à porta
Para além do anunciado e tão infame como repetido ataque ao subsídios de doença e de desemprego, o que me parece evidente é que aquilo que o governo chama de várias centenas de milhões de cortes nas despesas dos ministérios são um eufemismo para disfarçar momentaneamente gravíssimos cortes nas despesas sociais do Estado atingindo profundamente as condições de vida e rendimentos da populaçãio e que só deixarão isso à vista de todos quando apresentarem o Orçamento Rectificativo. Que ninguém pense que hoje «a montanha pariu um rato» porque o que há aqui é gato !.
(grafismo não oficial)
17 abril 2013
Hoje glórias do jornalismo espanhol
«Muertos» sem mais
A notícia que se segue a este titulo no El País tem cerca de 3.000 caracteres. Mas nenhuns nos dizem, ao contrário de tanta imprensa internacional, que os sete mortos, não certamente por azar ou bambúrrio, eram apoiantes de Nicolas Maduro. Enfim, em certas matérias, não há nada como os jornais ditos «de referência».
Joaquim Aguiar na SIC Notícias
Às vezes, parece que vale a pena
O politólogo Joaquim Aguiar esteve ontem à noite na SIC Notícias, a convite de Mário Crespo, para debitar as suas tretas mais recentes. Acontece que, sem que eu tenha feito algo por isso, 57 leitores desta chafarica foram visitar este post intitulado «as últimas do grande politólogo». O autor agradece este pequeno-grande sinal de que vale a pena e de que não anda a escrever para o boneco.
Só se nota o contrário !
Curtíssimo ensaio
sobre a hipocrisia
sobre a hipocrisia
«(...)En realidad, el Fondo viene a otorgar más solemnidad a los avisos
lanzados en los últimos meses. Muy particularmente desde que en su
reunión de octubre en Tokio puso cifras a la música ya ensayada por sus
nuevos ideólogos: el estudio publicado entonces reveló que el impacto de
la austeridad impuesta por la ortodoxia a rajatabla —recortes de
gastos, aumentos de impuestos— es muy superior a lo que se venía
creyendo; hasta casi dos veces de decrecimiento por cada unidad de
restricción, en vez de media vez (...).(El País de hoje)
Como estamos fartos de ver e se verá amanhã
na conferência de imprensa do governo.
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