24 julho 2016

Chão da Lagoa

Já sei quem é a culpada



Toda a gente a pensar que as sanções eram por causa do défice de 2015 e afinal, diz o sonso e mentiroso relapso, são por causa do que se «está a passar agora».
Sai mais um copo de poncha da Casinha !

Para o seu domingo

Catherine Russell




23 julho 2016

Porque hoje é sábado ( )

Michael Gira & Swans



A sugestão musical deste sábado assinala
o regresso de Michael Gira e os Swan
para o novo álbum The Glowing Man.


Ele nunca se lembra que perdeu 700.000 votos !

Enquanto isto e para "ajudar à festa",
Passos Coelho barafusta contra um suposto «governo soviético» em Portugal




Mais glórias do jornalismo de «referência» ou...

... como elas se fazem !


Uma pessoa vê esta chamada de 1ª página no Público de hoje e fica logo a pensar que poderes especiais terá este jornal para conhecer a opinião de «os turcos». Mas vai às duas páginas interiores e logo descobre que a reportagem de Sofia Lorena leva este título


o que é plenamente acertado pois ela só falou com o académico Sakir Dincsahin. Aposto dobrado contra singelo que amanhã em «O Público errou» não aparecerá um pedido de desculpas à jornalista e aos leitores.

22 julho 2016

Nos 80 anos da guerra civil

Recordando um crime menos
falado da ditadura franquista


ler aqui


o documentário
e o livro

Que Deus proteja a América

Antologia Trump

(quem consiga chegar até ao fim,
ganha uma semana de férias no
resort Trump na Escócia)
«(...) Nous avons donc dressé la liste de tout ce qui fait de Donald Trump un candidat inacceptable à la présidence des États-Unis. Que ce soient des propositions politiques qui ne devraient même pas donner lieu à débat, telle que la torture comme mesure punitive, ou des insultes, comme celle adressée à Rosie O’Donnell. Pris à part, chacun des éléments de cette liste ne disqualifie pas forcément Trump, mais leur cumul est éloquent.
Avertissement: Donald Trump se contredit souvent. Les opinions politiques répertoriées dans cette liste ici ne reflètent pas forcément son point de vue actuel. À vous de décider si vous trouvez ça rassurant.
1. A dit qu’il forcerait l’armée à commettre des crimes de guerre.
2. A dit à propos des femmes: «Il faut les traiter comme de la merde.»
3. A proposé la création d’une base de données destinée à surveiller les musulmans qui vivent aux États-Unis.
5. A dit qu’un juge né aux États-Unis ne pouvait être impartial en raison de son «héritage mexicain».
6. A appelé à l’interdiction pour les musulmans d’entrer sur le territoire américain.
8. A promis l’expulsion de citoyens américains dont les parents sont entrés illégalement sur le territoire, ce qui constituerait une violation du 14e amendement.
9. A recommandé le waterboarding en guise de châtiment, même si cela ne mène pas à l’obtention de renseignements, parce que, «de toute façon, ils le méritent».
11. A expliqué les agressions sexuelles au sein de l’armée par le fait qu’on «mélange les femmes et les hommes».
12. Fraternise avec des suprémacistes blancs avérés sur Twitter.
13. A proposé que les États-Unis réduisent leur dette en ne la remboursant pas entièrement.
14. S’est moqué du handicap d’un journaliste.
15. A insinué à plusieurs reprises que le président Obama était sans doute musulman.
16. A qualifié le réchauffement climatique de canular inventé par «les Chinois» pour des raisons de compétitivité.
17. S’est déclaré favorable à l’utilisation de la torture.

19 julho 2016

Quando as purgas não são golpe

Pelos vistos, as listas
estavam prontinhas


Quatre jours après la tentative de putsch, la purge menée d’une main de fer par le président Erdogan s’amplifie. Après l’armée et la justice, elle touche désormais le monde de l’enseignement.


Le ministère de l’éducation turc a annoncé mardi 19 juillet la suspension de plus de 15 000 de ses employés soupçonnés d’être liés au prédicateur Fethullah Gülen, accusé d’être derrière le putsch manqué et dont Ankara veut demander l’extradition aux Etats-Unis. Le ministère a annoncé dans un communiqué :
« 15 200 fonctionnaires du ministère de l’éducation (...) ont été suspendus, une enquête à été ouverte au sujet de ces individus »
Le Conseil de l’enseignement supérieur (YÖK) – l’organisme étatique qui supervise l’organisation des universités – a pour sa part demandé la démission de plus de 1 500 recteurs et doyens d’université, rapporte l’agence de presse gouvernementale Anatolie. Cette décision concerne les 1 577 recteurs et doyens des universités publiques et celles rattachées à des fondations privées, selon l’agence.

Em Le Monde