Achem-lhe graça e esqueçam-se da natureza do escorpião e depois vão ver...
06 julho 2016
05 julho 2016
Santa paciência
Outra vez o «bunker»
da Soeiro Pereira Gomes
da Soeiro Pereira Gomes
Na penúltima Visão, numa longa peça dedicada a Jerónimo de Sousa, a dado passo, podia-se ler : «Por agora, mergulhemos nas paredes de vidro do bunker da sede do PCP, na Soeiro Pereira Gomes, nome que, pela segunda vez, surge nesta prosa, desta feita, por ser placa toponímica.»
Por isso, embora sem qualquer esperança de matar este e outros mitos longamente enraizados no jornalismo português, limito-e a transcrever o que aqui escrevi aqui em 9.11.2013:
04 julho 2016
Venha um módico de espírito crítico
Estamos todos a
cair no diz que diz ?
cair no diz que diz ?
Eu sei que Reuters não é um nome qualquer mas também não creio que seja o Oráculo de Delfos nem que as suas fontes não identificadas mereçam um confiança cega. E, depois, acontece que nem todos temos obrigação de ser licenciados em Finanças Públicas e é mais que certo que, compreensivelmente, 99,99% dos portugueses não fazem a mais pequena ideia de como é que em Julho de 2016 é possível «corrigir» o défice há muito apurado para o ano de 2015.
03 julho 2016
Estamos sempre a aprender
E viva o amiguismo político !
Do alto da sua cátedra em Georgetown e da sua qualidade de palestrante a 75.000 dólares, Durão Barroso já havia cometido a proeza de declarar que a aplicação a Portugal de sanções pelo défice de 2015 (governo de Passos e Maria Luís) dependia do que o actual governo dissesse ou fizesse. Agora vem Maria Luís diz isto, ou seja, que os números não mudariam mas que, como a ministra, o governo e a política seria o mesmo, o Eurogrupo e Comissão Europeia já fechariam os olhos.. Obrigado, srª drª, por classificar as instituições europeias como uma pandilha de amigos políticos.
02 julho 2016
01 julho 2016
30 junho 2016
Cada cavadela, minhoca
E depois queixam-se !
«L'avis des parlements nationaux ? Jean-Claude Juncker n'en a cure. Le président de la Commission européenne a en effet décidé ce mercredi 29 juin de passer outre la consultation des représentations nationales pour conclure le traité de libre échange entre l'Union européenne et le Canda, le Comprehensive Economic Trade Agreement.
«L'avis des parlements nationaux ? Jean-Claude Juncker n'en a cure. Le président de la Commission européenne a en effet décidé ce mercredi 29 juin de passer outre la consultation des représentations nationales pour conclure le traité de libre échange entre l'Union européenne et le Canda, le Comprehensive Economic Trade Agreement.
Cousin du fameux Tafta (l'accord UE-Etats-Unis en cours de pourparlers), ce "Ceta" est en négociation depuis septembre 2014. Mais pour que les Etats membres aient leur mot à dire dans sa conclusion, il aurait fallu que ce dernier soit considéré comme "mixte". La Commission européenne et le Conseil avaient jusqu'au 5 juillet pour se prononcer sur son statut. Or, on le savait, Bruxelles cherchait le moyen d'en finir le plus vite possible. Finalement, Jean-Claude Juncker a décidé de trancher dès ce mercredi, lors d'une conférence de presse :
"J'ai dit clairement hier que la Commission est arrivée à la conclusion, en raison d'une analyse juridique, que ce n'est pas un accord mixte."
En considérant ainsi que le Ceta est un accord non-mixte, c'est la compétence exclusive de l'Union européenne qui joue. L'institution peut donc se passer de l'avis des parlements nationaux et même de l'unanimité des Etats membres au Conseil !
Entretenir ce qui a provoqué le Brexit
Une décision qui, dans une UE déjà éprouvée par le Brexit, sonne comme un défi aux nations européennes. Le 13 mai dernier, les 28 Etat membres de l'UE avaient en effet insisté pour que ce traité entre en vigueur seulement après un feu vert des parlements nationaux. "L'accord que nous avons conclu avec le Canada est le meilleur accord commercial que l'UE ait jamais conclu", argue le cavalier seul. Et ce, malgré la défiance montrée par les parlements de Wallonie, du Pays-Bas et du Luxembourg, qui ont chacun voté dans les derniers mois une motion demandant à leur gouvernement de ne pas adopter le Ceta.
L'objectif, pour la Commission, est de signer cet accord fin octobre lors d'un sommet à Bruxelles avec le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, pour une entrée en vigueur prévue en 2017. Et le Brexit ne semble vraiment pas avoir douché l'ardeur du tout-puissant Juncker, qui a par ailleurs annoncé cette semaine avoir prévu de sanctionner l'Espagne et le Portugal, par une amende et une suspension temporaire des fonds structurels européens, pour non-respect du Pacte de stabilité.»
Aqui em Marianne
29 junho 2016
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