31 março 2016

Está tudo doido ou a pedir chuva ?

Please, já não posso ouvir falar
mais do tiroteio na Ameixoeira !


30 março 2016

Palavras de uma entidade muito prestigiada...

E se, depois de tudo o que
nunca viram e já nos custou
milhões, se calassem um bocadinho ?


Amanhã, manifestações em França

Monsieur Hollande: se desististe
da retirada de nacionalidade e
da revisão constitucional, é hora
de desistires disto !

29 março 2016

Dedicado a São José Almeida e João Miguel Tavares

Saiba «coisas» sobre o
comandante do «impeachment»



ler aqui

28 março 2016

26 março 2016

Porque hoje é sábado ( )

Lilly Wood And The Prick

A sugestão musical deste sábado é dedicada
ao duo francês Lilly Wood and The Prick.


Antes dos últimos atentados

Comment les politiques se défilent 

face aux terrorismes (The Independent)

Patrick COCKBURN
La capture de Salah Abdeslam, considéré comme le seul planificateur survivant des attentats de Paris, signifie que les médias se concentrent à nouveau sur la menace d’une attaque terroriste par l’Etat islamique. Des questions se posent sur les raisons de qui ont permis à l’homme le plus recherché d’Europe à être en mesure d’échapper à la police pendant si longtemps, bien qu’il vivait dans son district natal de Molenbeek à Bruxelles. La télévision et les journaux s’interrogent désormais sur les chances d’Isis d’effectuer un autre attentat visant à dominer l’ordre du jour et montrer ainsi qu’ils sont toujours en activité. (NDLR : l’article a été écrit avant les attentats de Bruxelles du 22 mars)
Le traitement des événements de Bruxelles est conforme à ce que nous avons assisté après les attentats de Janvier (Charlie Hebdo) et de Novembre à Paris ainsi que des meurtres sur la plage tunisienne par Isis l’an dernier. Pendant plusieurs jours, il y a eu une surmédiatisation de ces évènements par les médias qui les ont traités au-delà de ce qui est nécessaire. Ensuite, leur attention s’est portée ailleurs et Isis est devenu l’histoire d’hier, comme si le mouvement avait cessé d’exister ou du moins perdu sa capacité d’influer sur nos vies.
Ce n’est pas comme si Isis avait cessé de tuer des gens en grand nombre depuis le massacre de Paris du 13 Novembre ; ils ont, au contraire, continué, mais pas en Europe. J’étais à Bagdad le 28 Février quand deux kamikazes d’Isis se sont fait exploser, depuis leurs motos, aux abords d’un magasin de téléphonie mobile à Sadr City, tuant 73 personnes et en blessant plus de 100. Le même jour, des dizaines de combattants Isis à bords de pick-ups, équipés, à l’arrière, de mitrailleuses lourdes, ont attaqué les avant-postes de l’armée et de la police à Abou Ghraib, site de la célèbre prison en périphérie ouest de Bagdad. Il y eut un assaut initial d’au moins quatre kamikazes, dont un conduisant un véhicule bourré d’explosifs dans une caserne. Les combats ont ensuite duré pendant des heures autour d’un silo à grains enflammé.
Le monde extérieur a à peine remarqué ces événements sanglants parce qu’ils semblent faire partie de l’ordre naturel d’Irak et de Syrie. Mais le nombre total d’Irakiens tués par ces deux attaques - et un autre double attentat suicide visant mosquée chiite dans le quartier Shuala de Bagdad quatre jours plus tôt – a causé le même nombre de victimes qu’à Paris en novembre dernier.
Il y a toujours eu un décalage dans l’esprit des gens en Europe entre les deux guerres en Irak et en Syrie et les attaques terroristes contre les Européens. Ceci est en partie parce que Bagdad et Damas sont des lieux à la fois exotiques et effrayants, et les images résultant d’attentats à la bombe sont la norme depuis l’invasion américaine de 2003. Mais il y a une raison plus insidieuse de pourquoi les Européens ne font pas suffisamment la connexion entre les guerres au Moyen-Orient et la menace pour leur propre sécurité. Séparer les deux est dans l’intérêt des dirigeants politiques occidentaux, parce que cela signifie que le public ne voit pas que leurs politiques désastreuses en Irak, en Afghanistan, en Libye et au-delà a créé les conditions pour la montée d’Isis et de bandes terroristes auxquelles Salah Abdeslam appartenait.
L’effusion de deuil officiel qui suit généralement les atrocités, telle que la marche de 40 chefs d’Etat dans les rues de Paris après les meurtres de Charlie Hebdo l’année dernière, a aidé à neutraliser toute idée critique sur les échecs politiques de ces mêmes dirigeants, qui, pourtant, sont en partie responsable de ces massacres. Après tout, ces marches sont généralement effectuées par les démunis pour protester. Mais dans ce cas, la marche a simplement servi de coup publicitaire pour détourner l’attention sur l’incapacité de ces dirigeants à agir efficacement et à arrêter les guerres au Moyen-Orient qu’ils sont fomentés.
Un aspect étrange de ces conflits est que les dirigeants occidentaux n’ont jamais eu à subir les conséquences d’avoir mené des politiques attisant la violence. Isis est montée en puissance en Libye, chose qui ne serait pas arrivée si David Cameron et Nicolas Sarkozy n’avaient pas aidé à détruire l’Etat libyen en renversant Kadhafi en 2011. Al-Qaïda est en expansion au Yémen, où les dirigeants occidentaux ont donné un feu vert à l’Arabie Saoudite pour lancer une campagne de bombardement qui détruit le pays.
Après le massacre de Paris l’année dernière il y a eu un flot d’émotion envers la France et peu de critiques à l’égard de sa politique en Syrie et en Libye, bien que celle-ci a été à l’avantage d’Isis et des autres mouvements salafistes et djihadistes depuis 2011.
Il est utile de citer longuement Fabrice Balanche, un cartographe français et expert sur la Syrie qui travaille maintenant pour le Washington Institute for Near East Policy, à propos de ces perceptions erronées en France, bien qu’elles soient également applicables à d’autres pays. Il a ainsi dit : « les médias ont refusé de voir la révolte syrienne autrement qu’en étant la poursuite des révolutions en Tunisie et en Egypte, à un moment d’enthousiasme envers le printemps arabe. Les journalistes ne comprennent pas les subtilités sectaires en Syrie, ou peut-être qu’ils ne veulent pas les comprendre ; J’ai été censuré à plusieurs reprises. »
« Les Intellectuels syriens de l’opposition, dont beaucoup sont en exil pendant depuis des décennies, ont eu un discours semblable à celui de l’opposition irakienne lors de l’invasion américaine de 2003. Certains d’entre eux confondent leurs propres espoirs pour une société non sectaire avec la réalité , mais d’autres - tels que les Frères musulmans - ont tenté de masquer la réalité afin d’obtenir le soutien des pays occidentaux. »
« En 2011-2012, nous avons subi un type de maccarthysme intellectuelle sur la question syrienne : si vous disiez qu’Assad n’était pas sur le point de tomber dans les trois mois, vous étiez soupçonné d’être payé par le régime syrien. Et avec le ministère français des Affaires étrangères ayant pris cause pour l’opposition syrienne, il aurait été de mauvais de goût pour contredire ses communiqués. »
En reprenant cause pour l’opposition syrienne et libyenne et en détruisant ces Etats, la France et la Grande-Bretagne ont ouvert la porte à Isis et doivent partager la responsabilité de la montée d’Isis et du terrorisme en Europe. En refusant d’admettre ou d’apprendre des erreurs du passé, les Européens n’y sont pour peu dans la réussite de l’actuelle « cessez-le-feu », en Syrie, qui est presque entièrement dû aux Etats-Unis et à la Russie.
La Grande-Bretagne et la France ont suivi de près les politiques de l’Arabie saoudite et des monarchies du Golfe à l’égard de la Syrie. Lorsque j’interrogeais un ancien négociateur pourquoi il en était ainsi, il m’a sèchement répondu : « l’argent. Ils veulent des contrats saoudiens. » Après la capture de Salah Abdeslam on parle de manquements à la sécurité qui lui a permis d’éviter de se faire arrêter. Mais cela est largement hors de propos vu que les attaques terroristes se poursuivront aussi longtemps qu’Isis restera une puissance. Encore une fois, la couverture médiatique à chaud permet aux gouvernements occidentaux d’échapper à la responsabilité de leurs échecs et matière de sécurité, qui relève de leurs politiques désastreuses.
Patrick Cockburn

25 março 2016

Em «Les InRocKuptibles» de 23 au 29 mars 2016

Os criminosos atentados
de Bruxelas não devem fazer
esquecer o acordo UE-Turquia



(clicar para ler melhor)

24 março 2016

Confirmado !

Governo PSD-CDS vendeu os
CTT (e uma licença bancária)

por 10/12 anos de lucros, a
seguir é sempre abichar pelo privados


aqui post antigos sobre a
 privatização dos CTT

23 março 2016

22 março 2016

Se eles não se calam, eu também não

E se o juiz de instrução Carlos
Alexandre dissesse que J.M. Tavares
é o real dono de 5 andares na Torre das Amoreiras apesar de a documentação legal dizer que são da Teixeira Duarte ?

mais aqui
Eu até acho que estava na altura de, aqui nesta chafarica, desligar um pouco do Brasil. Mas não me deixam. Por exemplo, ainda hoje, no Público, João Miguel Tavares vomita a infâmia de que as posições enunciadas pelo PCP e pelo BE se baseiam no principio de «Lula é corrupto mas é o nosso corrupto».

Sabendo que a quase totalidade dos dos partidos brasileiros está atingida por problemas de corrupção, o que muitos temos feito em Portugal é avaliar a consistência dos indícios e suspeições  avançados conra Lula e Dilma, prestar atenção aos factos e aos comportamento de diversos magistrados e chamar a atenção para os argumentos contrários, tudo coisas que os defensores portugueses do «golpe» não fazem e antes silenciam.

E, para não gastar mais cera com tão ruins defuntos, apenas alinhavo uma inocente pergunta : porque é que os J.M. Tavares e carradas de outros (e, em geral, os media portugueses) ignoram e não contestam isto :

Verdadeiramente extraordinário !

Porque é que dezenas de jornalistas
estrangeiros (e o Público) desperdiçaram
uma soberana oportunidade para
desmascarar 
Raúl Castro ?

editorial do Público

sobre o caso a peça do Público só diz isto

Escrever com o fígado dá nisto

Reaccionário já sabia 
que era tão ignorante não !

Que um jornalista já tão antigo como este marmelo vomite bojardas de ódio de classe a respeito do Brasil (que aqui gostosamente cito) é coisa que não me causa grande admiração. Agora que, passados 36 anos da sua fundação, ainda não tenha aprendido que o partido de Lula e Dilma se chama de Partido dos Trabalhadores já é coisa que só pode ser explicada pelo facto de ódio poder gerar cegueira.


21 março 2016

20 março 2016

Sejam coerentes e...

... digam que é preciso
proibir Ricardo Salgado
de comprar o passe social !




Deve estar a fazer 30 anos - nos primeiros tempos de Cavaco Silva como primeiro-ministro - que nasceu uma milonga que dura até hoje. Trata-se nem mais nem menos do truque de proclamar que é um escândalo que os ricos também beneficiem de certas medidas sociais de carácter universal. É o que faz hoje no
Público Manuel Carvalho desta forma : «
Avançar com a ideia dos manuais escolares gratuitos é a prova acabada de que uma certa esquerda não percebeu que a igualdade nestes domínios pode favorecer os mais pobres, mas concede também benefícios injustificados aos mais ricos.»
Há séculos que eu e outros explicámos caridosamente que essa questão se resolve no plano dos impostos e não passando a impôr a todos os cidadãos que, para isto e para aquilo, andem com um cartão pendurado ao pescoço com o nível dos seus rendimentos. E, uma vez, quando ouvi um rico a clamar que não fazia sentido nenhum que ele, podendo pagar, tivesse acesso (quase) gratuito ao Serviço Nacional de Saúde, logo lembrei ao fingido indignado que nada o impedia de fazer doações financeiras ou de equipamento ao SNS (mas creio que a sugestão não foi seguida).

Por isso, repito: sejam coerentes e exigam que Ricardo Salgado não possa comprar o L1 e que os netos de Américo Amorim não possam andar na escola pública (quase gratuita).

Porque hoje é sábado ( )

Jackson Brown


A sugestão musical deste sábado é
 dedicada ao cantor norte-americano
 
Jackson Brown





18 março 2016

E é via «Gobo» !

O que apanhei às 21 hs e
os telejornais dessa hora
em Portugal não apanharam








 e mais aqui

É director-adjunto do «Público»

 ~


Pedro Sousa Carvalho escolheu o título e depois, no texto, atribui-o cobardemente à esquerda. Assim:



Desta nem «O Globo» se lembrou



Com a agravante de que 99,9% dos «leitores de banca»nem saberão o que foi o DOPS.

Só para confirmar o que,
 por lá, alguns querem




aqui

17 março 2016

Vergonha !!!

Quem é capaz de escrever
isto, é capaz de escrever tudo
contra Dilma e Lula




Ou seja, ficar sujeito ao foro do Supremo Tribunal Federal, a mais alta instância judicial do Brasil é «estatuto especial de imunidade perante a lei» !!!

  Entretanto, aquilo que não 
lerá nos jornais portugueses

J.M. Tavares e outros

Gente fina não
liga a estas coisas !